Affiche en Tête

Affiche en Tête
Encadrement sur mesure, laminage, impression numérique, sur le Plateau Mont-Royal.

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jeudi 26 juin 2014

Shepard Fairey - Smokey Robinson

 Très peu d’images de campagnes politiques survivent à l’élection du parti ou du politicien en question. Encore plus rarement peut-on voir la collaboration entre ceux qui aspirent au pouvoir politique et les artistes de la rue. Pourtant, tout le monde saura reconnaître le fameux poster « Hope », popularisé lors de la campagne présidentielle de Barack Obama en 2008, même s’il n’a jamais été officiellement endossé par la campagne du (futur) président Obama. Elle est l’œuvre de Shepard Fairey, qui est aussi le créateur de la ligne de vêtement OBEY. Après la campagne électorale, Fairey a continuer à jouir d’un succès important… et à créer des sérigraphies en édition limitée d’autres personnages importants de la culture américaine. Ces posters se vendent généralement très rapidement, malgré leur fréquence de parution incertaine. 

C’est ainsi qu’un de nos clients a réussi à mettre la main sur un « Smokey Robinson » numéroté, signé par Fairey… et Robinson. L’impression est d’une qualité exceptionnelle, le rouge est intense et uniforme, et certains accents noirs sont lustrés, ce qui ajoute une touche de profondeur supplémentaire à l’œuvre. Soucieux que le rouge de la brique ne fasse pas compétition à celui de la sérigraphie, il lui fallait une moulure qui serait contemporaine et épurée, sans être ennuyante. Larson-Juhl à notre secours ! La Gramercy s’offre dans une variété de tailles et bien qu’elle soit noire (donc elle va bien avec tout, et toute femme devrait en avoir une) les arêtes sont argentées, ce qui souligne l’encadrement, sans pour autant devenir le point focal.
Le street art, c'est bien, mais des fois on a envie d'autre chose qu'un graffiti sur notre beau mur de brique.


            Liens
Site de Shepard Fairey : http://www.obeygiant.com/
Une p’tite bio de Smokey Robinson ? : http://en.wikipedia.org/wiki/Smokey_Robinson

jeudi 5 juin 2014

Les Panneaux Électriques

Si nécessaires, si gênants.


Il est difficile de nier que l’électrification est un bienfait dont on se passerait volontiers. Mais voilà, la boîte électrique peut souvent être mal placée dans notre espace habitable, et c’est rarement un « objet design » qu’on désire exhiber à tout prix. Il semble aussi que l’industrie offre une panoplie de modèles, dont plusieurs aux dimensions impressionnantes.

Donc, gros objet mural, plutôt moche à voir, mais oh combien utile. Doit-on simplement accepter cet état des choses ? Pas nécessairement. Plusieurs solutions s’offre à nous pour camoufler la boîte électrique, et ce dans une gamme de coûts intéressante. Tout d’abord, assurez-vous de bien dire que c’est pour ce genre d’opération que vous magasinez. Dû au fait qu’on peut vouloir y avoir accès rapidement, certains produits sont mal adaptés à cette fonction. L’encadrement classique, par exemple, est plus fragile et plus lourd, il est moins facile à manipuler rapidement. Voici trois solutions simples pour cacher une boîte électrique mais y avoir accès rapidement en cas de panne, de rénovation ou de fusible à changer.

1- Le laminage. 

Que ce soit en bloc ou en flotteur, ce type de laminage est léger et muni d’un faux cadre qui lui confère une profondeur apte à dissimuler les panneaux en surface. L’avantage du laminage est sans conteste le prix. Puisque c’est un procédé sur mesure, vous n’êtes pas contraint par les tailles de cadres pré faits.

2- La toile. 

Mais pas le vieux cadre de chez votre tante d’un flanc de montagne à la Bob Ross dans sa moulure coloniale. L’impression numérique sur toile offre une alternative très intéressante, mariant ce médium ancestral aux images les plus contemporaines. Que ce soit une image générique achetée sur un site d’images, une reproduction d’un artiste connu ou encore vos propres photos, les possibilités sont impressionnantes. Seul bémol, il faut une image dont la résolution sera assez grande pour ne pas voir les pixels. Nous recommandons toujours de se maintenir à 100 ppp (pixels par pouce ou dpi) ou plus pour assurer un beau résultat. La toile est aussi la plus légère des solutions et, si on utilise le faux cadre de type galerie, elle offre un « caisson » d’environ 2.5 centimètres pour cacher les boîtes électriques qui dépassent plus du mur.

3- Le laminage encadré. 

Pourquoi ai-je gardé cette option séparée du laminage ? Le procédé est un peu plus complexe, et plus coûteux, mais beaucoup plus personnalisé et diversifié. La plaque de laminage est très mince, afin de réduire le poids au maximum. On vient ensuite l’insérer dans un cadre sur mesure de l’épaisseur nécessaire pour cacher le panneau électrique. Le tout reste solide et léger, facile à déplacer rapidement en cas d’urgence ou de travaux, avec l’avantage additionnel qu’il n’y a pas de vitre entre vous et votre image.

Voici un exemple de laminage encadré chez une de nos clientes. Son panneau était particulièrement profond et, comme vous le voyez, il y avait un deuxième élément à cacher. Vous remarquerez que son cadre est accroché à côté d’une grande fenêtre qui ne causera jamais de reflet, dû à l’absence de vitre.